A propos

« Faisons envie », chantait Bashung, un artiste cher au cœur de Luc Gaurichon, le fondateur de Caramba à l’aube des années 2000. Ce fleuron indépendant de la production de concerts en France est devenu en 2019 caramba: culture live, mais faire envie, donner envie, « en live », demeure une quête obstinée. 

Les musiques du monde et le jazz étaient au départ les deux antennes vibrantes de Caramba, maison d’hôtes aux portes (et oreilles) grandes ouvertes. Mais toutes les autres formes d’ondes musicales y ont au fil du temps trouvé leur place, de la chanson au rock en passant par l’électro ou plus récemment l’urbain, jusqu’à constituer l’un des catalogues les plus éclectiques et transcontinentaux sous pavillon français. 

L’esprit familial ayant toujours constitué l’un des secrets de la réussite de Caramba, c’est désormais au côté de sa fille Charlotte que Luc Gaurichon dirige caramba: culture live. Charlotte aura été l’architecte de cette transformation qui prend en compte la diversification entreprise ces dernières années, à travers différentes antennes (caramba: musique, caramba: spectacles et caramba: events) sous l’ombrelle caramba: culture live.

caramba: culture live, ce sont près de 1500 concerts et événements annuels, et outre la musique on y trouve une véritable arborescence : spectacles visuels, circassiens, illusionnistes, conférences dans le développement personnel ou les expériences immersives comme Le Labyrinthe de Tim Burton. Agent d’artistes à l’international, label phonographique (sous la marque caramba: records) et organisateur d’événements privés, sa toile sensible s’est déployée à mesure des aspirations des nouveaux publics et enjeux esthétiques de l’époque.

Parce que la culture, les concerts, le spectacle, le divertissement sont autant de façons de se sentir « en vie ».