Aux carrefours du rythm’ and blues, de la soul et du funk, Sugaray Rayford nous offre une musique sensuelle qui respire la chaleur moite de son Texas natal. Un colosse avec une voix puissante m...
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Aux carrefours du rythm’ and blues, de la soul et du funk, Sugaray Rayford nous offre une musique sensuelle qui respire la chaleur moite de son Texas natal. Un colosse avec une voix puissante mais aussi beaucoup de sensibilité.
Sugaray a débuté sa carrière très tôt à l’âge de 7 ans en chantant et jouant de la batterie à l’église, l’influence du gospel imprégnant depuis toute sa musique.
A l’âge de 12 ans il part pour la Californie où il devient rapidement la coqueluche des stars de Los Angeles qui font la queue pour jammer avec lui sur scène : on peut ainsi l’entendre en compagnie de Joe Louis Walker, Dennis Quaid, Slash…
Avec les Mannish Boys, le chanteur a gagné les Blues Music Award du meilleur album de Blues traditionnel en 2013 et Rayford a été nominé plusieurs fois pour les BMA incluant la catégorie Meilleur chanteur de l’année sans parler des nominations pour le prix B.B. King d’entertainer de l’année.
Avec son groupe de huit musiciens et son charme indéniable sur scène, les shows sont rapidement reconnus pour leur impressionnante énergie avec un leader s’adressant au public comme le ferait un prêcheur gospel. Tant en studio qu’en live, Sugaray Rayford développe une réputation et une force grandissante d’un artiste à surveiller dans les prochaines années.
Ce chanteur soul Texan,ex-marine et grand amateur de cigare en impose avec ses presque 2 mètres et 130 kgs. En plus d’une présence magnétique, il possède un style de chant old school faisant écho à Muddy Waters, Otis Redding ou Teddy Pendergrass et il est tout aussi capable d’exécuter les pas de danse d’un James Brown !
En 2010, il sort son premier album « Blind Alley », sur lequel le producteur Al Kooper ( Dylan, Stones, Lynryd Skynyrd…) lui écrit deux titres. La presse est unanime et plusieurs séries TV, notamment « True Blood », utilisent ses chansons. Le succès est là et ne s’arrêtera plus. Un deuxième album « Dangerous » sort en 2013, suivi par « Southside » en 2015.
« The world that we live in » est son quatrième opus et continue dans la veine des précédents : un subtil mélange de blues, funk et soul façon Stax records.
Sorti le 1er septembre 2017 sur le label Blind Faith Records, ce quatrième opus bénéficie de la production du maître es soul transalpin, Luca Sapio, qui, après avoir relancé la carrière de l’ex-choriste de James Brown, Martha High, a offert au blueman un pur bijou de soul brute. Avec l’aide du groupe The Royal Italian Family, taillé sur mesure par Sapio, Sugaray Rayford rayonne sur ces dix titres de ballades soul down tempo saisissantes, de gospel lumineux, de blues rude et de groove puissant.
Son dernier album « Someboy Save Me » est un album ambitieux qui tend gracieusement entre la nouvelle de Gray Clarke Jr. et Fantastic Negrito, les styles rock&soul de forme de blues The War & Treatyand, les Daptones, la soul des regrettés Charles Bradley et Sharon Jones, apportant un air frais au son classique.
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